lunes, 27 de febrero de 2017

Federico Cantú regresa a Francia para completar el siclo y marcar una década de estadía en Paris , esta tinita donde recrea todo ese grupo de modelos y desnudos
Que utilizaba Cantú son el reflejo de sus vivencias  una fotografía que nos narra la biografía de este gran artista , esta secuencia que tintas donde sus musas se desnudan en pasajes etéreos entre nubes y campos son verdaderos laberintos íntimos.
El arte erótico no es nada menos que la historia del deseo humano en todas sus manifestaciones. La extasiada pasión por el fruto prohibido, se siente libre en la expresión sexual dibujada a lo largo de centenares de obras concebidas por Federico Cantú.

¿Qué es el deseo de hacer arte, sino el deseo de expresar el anhelo de una pasión alcanzada en la vida, esa sexualidad humana, tierna, lúdica y apasionada, brutalmente desgarradora y transgresora?


Esto en verdad apasiona porque cuanto mayor es la vinculación entre el creador y el observador, el momento estará más cercano a un ménage a trois en el que el espectador, con su mirada, se convierte en una parte del triángulo amoroso.


Decía Federico Cantú sobre su llegada a París en 1930: "a mi regreso a Montparnasse, me encontré con que mi atelier había sido alquilado y la obra vendida al mejor postor. Ahí debo de haber perdido miles de obras incluyendo dibujos, escultura, bocetos y óleos".

No imagina Federico, en ese momento, que una vez reinstalado en Paris con la idea de completar el ciclo de diez años iniciado en 1924, su obra volvería pronto a quedar en el limbo porque, como lo narra Antonin Artaud en su visita a México en 1936, Francia se encuentra en la incertidumbre de una nueva guerra. 



 

domingo, 5 de febrero de 2017

Museo CYDT


La Constitution mexicaine de 1917 établit un État fédéral où les régions sont définies comme « États libres et souverains dans son régime interne » et conservent tous les pouvoirs non expressément accordés à la fédération (ce qui est connu comme souveraineté résiduelle). Toutefois, dans le cas des pouvoirs concurrents, l'esprit et la lettre de la Constitution mexicaine attribuent la priorité à l'État fédéral. La Constitution défend expressément aux régions d'acquérir des crédits internationaux, ainsi que de conclure des ententes avec des puissances étrangères (comprises normalement comme d'autres États). D'après l'interprétation traditionnelle de la Constitution, toutes les relations internationales appartiennent aux domaines exclusifs de l'État fédéral1. La réforme constitutionnelle de 1988 renforça cette position, en substituant, dans la liste des pouvoirs du président fédéral, le terme « négociations diplomatiques » pour « politique extérieure »


En plus, un nombre important d'autres pouvoirs, la plupart susceptibles de projection extérieure est réservé à l'État. Déjà en 1917, ceux-ci comprenaient la régulation du commerce (des secteurs minier et bancaire). Des réformes constitutionnelles postérieures y inclurent le contrôle du commerce extérieur, la planification du développement, le contrôle des secteurs économiques stratégiques et l'attraction et la régulation des investissements étrangers. Même si les régions conservèrent le droit au partage des bénéfices fiscaux produits par ces derniers domaines, leurs direction et régulation directes leur échappèrent. La clause de prévalence de la législation fédérale qui oblige les gouverneurs régionaux à publier et à veiller à l'application des lois fédérales et la jurisprudence de la Cour suprême de justice confirmèrent l'excercice des pouvoirs fédéraux exclusifs dans ces domaines